Tout est question de profondeur !
Le marquage et la soudure laser sont des alternatives à l’étiquetage… qui ne manquent pas d’avantages. En effet, tous deux permettent d’aboutir à un rendu net, qui ne se dégrade pas et reste traçable dans le temps.
Ces solutions sont notamment utilisées pour des logos, mais aussi pour des codes-barres Datamatrix. Marquage et soudure laser se prêtent également bien à la sérialisation, ce qui est précieux dans le secteur pharmaceutique.
Le marquage laser et la gravure laser s’adaptent à tous les matériaux métalliques (titane, inox, acier, aluminium...), mais aussi aux plastiques, aux céramiques, ou encore au silicium !
Retrouvez les 3 usages du laser industriel
Pour obtenir une oxydation superficielle noire ou colorée qui ne se sent pas à l’ongle, le marquage laser est la solution idéale.
En effet, cette interaction superficielle entre le faisceau laser et la matière offre un rendu optimal. Le marquage noir et le marquage blanc, dans l’horlogerie, sont les deux types de marquage laser les plus courants.
La gravure laser peut être préférée au marquage laser lorsque sont nécessaires des traitements chimiques (passivation, anodisation, conversion...) ou de surface (polissage, sablage...), mais aussi simplement pour lutter contre l’effet du temps.
Cette opération, plus longue que le marquage laser, consiste à vaporiser la matière sur une profondeur définie et se sent au doigt ou à l’ongle. Si la profondeur est trop importante (à partir de 0.2 mm), une gravure mécanique sera en revanche moins coûteuse.
Grâce à l’ablation de la métallisation, la gravure laser permet de réaliser des circuits d’interconnexions 3 dimensions (ci3d), qui sont des plastiques métallisés.
Vous souhaitez en savoir plus ? Vous avez un projet de marquage ou de gravure laser en vue ?